My name is Monster*Addict | Sujet: Monster vient vous jouer un petit tour (a) Jeu 12 Avr - 11:12 | |
| Bonjour tout le monde !
J'étais persuadé avoir déjà posté ma présentation ô__o
Je me présente, je suis Monster
MON PSEUDO : Monster*Addict MON ÂGE 17 ans CE QUE J'ATTENDS DE PEF : En un seul mot : Coup de Pouce 8D POURQUOI JE ME SUIS INSCRIT: Parce que, comme je l'ai dit plus haut, j'ai vraiment besoin d'aide et je désespère de chercher sur des forums qui n'ont pas comme forum principal le recrutement. Du coup je suis heureuse d'avoir trouvé un forum comme celui ci qui se fonde uniquement sur cela *w* FORUM DE MOI : Je viens de supprimer un forum RPG..par manque de staff ^^' J'en ai un non-rpg en cours de construction et deux idées en tête pour des RPG *w* J'AI LU LE RÈGLEMENT : Oui bien sûr ô_o COMMENT J'AI CONNU LE FORUM : Sur SOS forum RPG =) JE SUIS LA POUR PROPOSER OU DEMANDER UN EMPLOI : Les deux 8D Mais plus pour proposer ^^ ~ UN PEU PLUS SUR MOI ~ J'AI UN ANIMAL : Oui ! Un adorable minou *w* J'ai aussi... ma soeur XD ORIGINE :NOTES EN MATHS : Autour de 10 ^^" ALIMENT PRÉFÉRÉ : Jambon sec ! POSITION PRÉFÉRÉ : ... ça pourrait être interprété d'une façon très incorrecte.. xD Mais je dirais vautré sur le ventre XD JE DÉTESTE : Les éclairs, le caramel, les pruneaux, le pamplemousse, les hypocrites, la chaleur... ~ RPG ET FORUMS ~ MES RPGS PRÉFÉRÉ: Y'en a tellement, je peux pas les nommer ni faire de distinction ù.ù NOMBRE DE FORUMS SUR LESQUELS JE SUIS : Une vingtaine parce que le BAC approche ^^" COMMENT J'AI COMMENCÉ A RPG : Il y a environ 3 ans ^^ MON UNIVERS RPG PRÉFÉRÉ : Manga et sur divers thèmes, je ne suis pas difficile vu que j'ai toujours été une lectrice assidue ^^ MON PERSONNAGE RPG LE PLUS COURANT : Yolan =) - Spoiler:
Yolan NOLLAG
« On n'a pas d'autre maître que soi-même ; il faut que ce maître soit dur. »
Je suis un homme de Cromagnon, belle voiture et belle menottes <3 En effet, vous l'aurez certainement compris, je suis un homme. Un maître sadique. Un vrai. Je suis hétéro mais apprécie les hommes pour les relations tuyaux d'arrosages/petite fleur. Sinon je suis âgé de 24 ans et vit ma vie dans la tranquillité et l’absence total de travail. Je suis célibataire et je pense que je le resterais toute ma vie. Car je ne veux pas m'accrocher aux gens mais avoir des relations intimes <3
→ Caractère ←
« Savez-vous que les criminels ne donnent jamais leurs identités ? Alors pourquoi donc le ferais je ? Je ne dis pas que j'ai tué une armée à mains nues ou que je suis violeur professionnel, loin de là. Je dis juste que ma vie ou les différentes parties de mon corps ne devraient pas figurer dans votre livre ou article, ce que vous souhaitez. Ce que je viens de vous révéler, c'est déjà une partie de mon âme, n'est-ce pas ? Nous allons donc attaquer ensemble la partie la plus intéressante de mon univers. Mais avant de vous parler de moi, laissez moi vous donner mon point de vue sur les humains en général. La psychologie humaine est faite de telle façon qu'une personne qui ne pense pas comme toutes les autres est un fou. Mais un fou n'est il pas celui qui a dépassé le stade du simple humain pour chercher à devenir le meilleur en suivant sa propre voie. A non c'est vrai, un humain n'est qu'une bête qui doit suivre le chemin que le destin lui à tracer tout en suivant les règles de son propre système dicté elle-même par un humain. Pour ma part, je n'ai qu'une seul façon de penser, une seul façon d'agir. Tous mes faits et gestes ne sont dictés que part une seul et même personne...Moi-même. Si je veux torturer, violer, je ne demande pas l'avis aux autres pour agir. Ce ne sont que des jouets entrent mes mains. Je ne pense qu'à moi, le reste ne représente rien. Des amies? Pourquoi faire ? De la tristesse ou de la peine, quel intérêt quand on n'a plus rien à perdre. Puis-je ressentir de la joie ou du bonheur même âpres tous ces meurtres. Oui, mais seulement quand je vois le visage de mes proies se changer sous la douleur de la torture. Leur cri de douleur se rependant dans ma salle me donne encore plus l'envie de continuer. L'amour? A oui l'amour, si je me souviens bien sais ce sentiment qui unie deux personnes entrent elles par un lien fort et invisible. Les seuls liens que je tisse ne sont que des liens de douleur et de haine. Je n'ai pas besoin de tous ses sentiments d'affections, mes sentiments sont morts et enfouis depuis longtemps laissant la place à mon univers de haine, tortures, viols et manipulations mentales.. Je suis pas un ange mais je suis sur de ne pas être un démon non plus. Je suis juste un homme qui a fait des bêtises, fait des bêtises et fera des bêtises tout le long de sa triste vie. Attention je ne dis pas que ma vie est la plus misérable de toutes. De plus si je le disais, des centaines de malheureux me regarderaient avec leurs yeux grands ouverts. Détestable.
Oui c'est le mot pour moi aussi. Je suis un homme que l'on trouve détestable. Je le suis car même sous mes formes de noble, je suis un homme qui est proche du peuple. Ma famille n'arrive toujours pas à comprendre les raisons pour lesquelles je sors la nuit dans les rues de Londres sans avoir la moindre escorte de chevalier et servants. En effet, il arrive souvent que je sorte de ma bâtisse seul pour aller boire quelques verres, draguer les belles marchandes, provoquer un autre noble... C'est pour moi une façon de m'amuser et je trouve le mot détestable un peu trop fort et peu convenable.
Fort heureusement pour vous, vous ne devriez pas avoir à me connaitre parfaitement. Je hais le terme détestable, tout ce qu'il y a de plus agaçant. Mon orgueil dépasse l'entendement et ma soif de gloire, n'en parlons pas. J'ai l'impression d'être le meilleur de tous et de loin, alors je ne me donne jamais à fond sauf quand il s'agit de sport et d'aide au peuple. Oui, vous avez bien lu... J'aime aider le peuple puisque je trouve injuste de voir les absurdités qui tombent sur les gens. Je sais aussi que je suis un enfant adopté et venant d'une mère du peuple, m'ayant abandonné par manque d'argent. C'est surtout cette raison qu'il souhaite suivre, quelle soit vraie ou non. Il m'arrive parfois de trop regretter le passé, mais jamais il ne m'est venu à l'esprit que je suis tombé à cause de mon orgueil. Vous pensez bien, j'ai trop d'estime de moi-même pour se reprocher quoi que ce soit et se remettre en question. Je n'en ai jamais eu besoin, je suis parfait.
Bien, sur je ne suis pas que désagréable... Il m'arrive d'être gentil, quand j'en ai envie. J'aime bien être seul dans mon petit coin à penser à diverses choses qui m'occupe souvent l'esprit en temps et en heure. Mais n'essayez pas d'être trop émotionnellement ou proche de moi, j'aurais envie de vous détruire sans raison, bien que je serais surement flatté de savoir qu'on m'estime un peu plus que ce que j'en pensais. Mais tout cela, parce que je cache mes failles et faiblesses (si vous m'en trouvez).
Le plaisir de la chair comme on le surnomme. L'art d'aimer, le plaisir du corps, certainement le plus grand de mes pêchés. Si à mes jeunes années j'étais plutôt timide et gêné de ce sujet, ce n'est plus le cas désormais. Le sexe est une drogue à laquelle il devient difficile de résister une fois qu'on y a goûté. Rien n'égale la douceur de la peau de son partenaire, rien ne peut surpasser le goût de lèvres carmins sur les nôtres. Mais ce n'est pas tant le nombre de partenaire qui compte, que la façon de les séduire. Car la Luxure est avant tout un art de plaire, un jeu subtil, une chasse parfois longue qui se solde par une récompense ressemblant aux portes du Paradis.
La Luxure rime avec démesure, c'est le goût de l'excès, en cela je n'entre point dans la définition. Si j'aime la beauté et le luxe, je ne l'affiche pas outre mesure. Je ne suis pas excessive, ni dans mes biens ni dans mon comportement, on pourrait même dire que je me fonds dans le décor. Discrêt mais pourtant là, je suis l'oreille attentive qui se sert des faiblesses de chacun pour mieux les guider à ma couche. Homme ou femme, quelle importance ? Dans ce monde de décadence et de renouveau, personne ne se soucie plus des menaces religieuses lorsque le plaisir est à la clé. Moi je prie encore, mais ne me prive plus. De toute façon je suis condamné, alors autant en profiter. Et l'amour dans tout ça ? A-t-il une place ? L'amour, c'est faire confiance, c'est se confier, je l'ai connu. Il m'a été arraché, et la douleur fut-elle que je me suis juré de ne plus jamais ressentir ça. Alors je lui ai fermé ma porte. La clé de ma porte je le garde scellée. L'alliance et le mariage ? Baliverne. Je me réjouis au contraire de défier ce lien avec les insatisfaites de leurs maris...
Avec la Luxure, certainement mon plus grand pêché. Je ne supporte pas avoir tort, même quand il est prouvé que je me fourvoie. M'excuser dans ces conditions est une épreuve pour moi, cela revient à avouer ma faiblesse. Je serais même capable d'en vouloir à quelqu'un simplement parce qu'elle a raison. L'orgueil c'est aussi pour moi, ne pas supporter d'être le second dans une matière où j'excelle. Doté d'un fort esprit de compétition, je suis très mauvais perdant. Et si par malheur je venais à me faire doubler, je suis capable de travailler d'arrache pied pour reprendre la place qui était mienne. Rien que pour voir le visage de mon adversaire se décomposer devant mes performances. Pourtant, on pourrait croire le contraire, mais je ne suis pas un homme particulièrement ambitieux. L'avenir ne m'effraye pas spécialement puisque je sais ce qui m'attend au final. Disons que je me repose sur mes acquis et avance lentement vers l'inconnu.
Le maître mot de ma vie ? M'amuser oui. Comment avez-vous deviné ? Cela se lit surement sur mon visage que je passe des nuits agitées (c'est le cas de le dire), des parties de tennis interminables ou encore de nombreux parcours de cross remportés haut la main. J'aime beaucoup les chevaux. Oui j'admire leurs carrures, leurs envies de liberté... Ces animaux me donnent l'impression de voler un instant mais sans pour autant être seul à fuir. Souvent je fais à cheval dans les campagnes environnantes ou dans la forêt. Ce sont des lieux que j'admire beaucoup aussi. Le calme, la sagesse et la tranquillité qu'inspirent ces lieux me rassurent tout en me contentant. Ce côté de moi fait gentil nounours, non ? Et bien cette partie n'est heureusement ou malheureusement seulement visible à une partie de mes amis.
Tant qu'on est partie dans les qualités continuons tant qu'à faire. Je suis intéressé par les arts comme beaucoup de nobles qui se respectent. On trouve de nombreuses personnages intéressés par la musique ou la danse mais de mon côté, ce n'est pas le cas. En effet, je suis plus tourné vers la sculpture et le dessin. J'aime beaucoup les tableaux de grands peintres ou des auto portraits réussis. J'ai moi même de nombreux artistes qui dessinent pour moi lorsque je leur en fait la commande mais aussi un magasin que j'ai bâtit au mécontentement du reste de ma famille.
Sucré, salé, gâteaux, boissons, fruits ou viandes, j'aime la bonne nourriture et on le sait. J'avoue sans mal avoir un faible pour le sucré que je prends à quasiment chaque repas. Je n'hésite d'ailleurs pas à me resservir quand la cuisine me plait, ce qui est souvent le cas au grand damne de mes hôtes. Toujours avide de nouveauté, tester les cuisines pimentés de l'Inde ne m'effraye pas le moins du monde, les épices du monde Arabe n'ont aucun secret pour moi, quand aux grands classiques européens, je pourrais moi même les cuisiner si un noble aux fourneaux ne choquait pas tant que ça notre société. D'ailleurs, tout à fait entre nous, j'admets qu'il m'est déjà arrivé de cuisiner. Je garde ce secret pour moi, car je n'ose imaginer les regards qu'on me jetterait alors. Il est regrettable qu'une telle activité nous soit refusée, mais un jour j'en ai la conviction, cela changera.
La Gourmandise c'est aussi le plaisir de posséder. Je ne suis pas un grand amateurs des magasins, ces journées en ville à dépenser plus que de raison je laisse ça aux femmes. Elles seules savent comment dépenser l'argent durement gagné un mois durant en l'espace de quelques minutes. Je ne dis ça pour froisser ces demoiselles, mais le fait est reconnu. Je peux donc aisément me passer d'une chose me faisant envie pendant un temps.
Il n’a pas peur de jouer avec le feu s’il doit le faire, et bien qu’il ne s’intéresse pas aux autres, des défis de temps en temps ne lui déplaisent pas. Le jeune homme n’en fait qu’a sa tête, par envie et cela n’a pas souvent de sens… Il a envi de boire un café à l’autre bout de la ville il ira, même si il a un bar juste a coté. Non, il n’ira pas a celui là, il ira à l’autre même s’il est bien plus loin, juste parce qu’il en a l'envie.
Pour lui, la vie est une sorte de jeu où tout est permis, où les questions existentielles n'ont pas leur place et où il faut profiter absolument de chaque moment. Ça doit sûrement être pour ça qu'il ne se plaint pratiquement jamais – ou alors juste pour des choses vraiment stupides, mais c'est souvent plus pour meubler la conversation qu'autre chose – et qu'il parvient toujours à trouver des points positifs même dans les moments les plus sombres de son existence. Il sait que ce jeu a aussi une fin, c'est pour cela que quand il fait quelque chose, c'est parce qu'il en à réellement envie. C'est un grand amoureux de la nature, tout particulièrement des roses, qu'il chérit autant que possible. Fort susceptible, il a du mal à reconnaitre ses erreurs mais ne s'énerve pas pour autant. On peut affirmer aussi qu'il est romantique, homme comme femme, il sait se montrer aimant et passionné. Enfin, très idéaliste, quand il a quelque chose dans la tête, il est difficile de lui faire changer d'avis, voire même, impossible.
Pour ce qui est de ses passions, Monsieur le Poète pense qu'il est de son devoir d'en expérimenter le plus possible ce qui donne naissance à ses nombreux champs de connaissances telles que les sciences, les arts. Ainsi, nombreuses sont les occupations du jeune homme : la prestidigitation, l'écriture, les représentations théâtrales. Notre jeune homme est également un grand adepte des promenades interminables dans les champs, accompagné de belles demoiselles, ou de sa propre personne... Surtout de belles demoiselles.
Pour résumer, je suis devenu un véritable fanatique, doublé d'un pervers. Deux faces sont perceptibles chez moi. Extérieurement, c'est un garçon rigoureux et terriblement sérieux, honnête et intègre, totalement incorruptible, bref, le "citoyen parfait". Intérieurement, et dans des cercles privés, je suis un individu qui sait se montrer, sinon séducteur, du moins assez entreprenant, et dépourvu de tabous. Bienvenue dans mon monde ni blanc, ni noir... »
→ Mon histoire... ←
" Je suppose que vous voulez tout savoir de mon passé? Tenter de comprendre pourquoi je suis tel que je suis? Pas besoin de retourner à l'époque des couches, de la petite enfance. De toute façon, je me vois très mal, même par obligation, parler d'une époque aussi ridicule de ma vie! "
Rien que pour contredire notre ami ici présent, je vais vous compter son histoire dès son plus jeune age car il faut bien le dire, c'est un moment mine de rien important de son roman...
Un jour de vent, ou plutôt, une nuit de vent, dans une maison pourtant habituellement silencieuse, on entendit soudain des cri. Ceux d'un bébé qui venais tout juste de naitre. On était le 24 Décembre, et c'était un jours de fête, c'était un jeune garçon, il avait les yeux de sa mère et le nez de son père. Autour de lui, en plus de ses parents, de nombreuse personne s'était rassemblé, tous voulant voir le nouveau-né. Ils n'était tous que légèrement habillé pour un mois d'hivers et dans la pièce où ils se trouvaient, seul quelques bougie illuminaient le lieux. Un courant d'air venant siffler sous le nez du bébé, le fit éternuer. Il se fit rapidement envelopper d'une douce couverture et il entendit un léger cri, de la part de la mère visant l'homme qui venait d'ouvrir la porte pour entrer, et se tut immédiatement, comme le reste de la salle. Maintenant, mis à part les bruit de pas de l'homme se rapprochant de l'enfant et les cri innocents de se dernier, se fut le silence total. L'homme alla se planter devant la mère, cette dernière, ne pouvant s'incliner comme le faisait les autres, se contenta de baisser la tête avec respect. Sans demander à la génitrice, il prit le nouveau né dans ses bras et le souleva devant une bougie pour mieux l'observer. Il fit un grand sourire à la mère, et avant toute réaction de sa part, s'en alla avec l'enfant, par la porte par laquelle il était entré. La pièce retrouva son silence, et les visages des personne s'y trouvant, perdirent de leurs couleurs, pourtant la mère, elle leurs offrit en grand sourire chaleureux. L'homme marcha portant l'enfant contre lui, jusqu'à un grand manoir à proximité. Il entra, et monta les escaliers pour rejoindre sa compagne dans une des nombreuses chambres de la demeure. Il lui confia l'enfant et repartie sans un mot...
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« -Maman ? Pourquoi suis-je né ? »
Le jeune homme se contentait de la regarder, indignée. Était ce réellement sa mère ? Il ne sait pas grand-chose de ses origines. Il ne sait pas qui est son père, mais il se doute que, malgré tous les hommes que sa mère a connus, que celle-ci sache qui est son géniteur. Le jeune garçon n’a jamais cherché à savoir, comme s’il craignait la vérité. En fait, il n’est pas certain qu’elle lui aurait dit la vérité, car elle détestait son fils. En même temps, connaître la vérité n’aurait rien changé à sa vie et à son destin. Elle ne prit pas la peine de répondre, et sortit de la pièce laissant son fils seul. Progressivement, il se renferma sur lui même, à cesser de parler à ses parents lorsqu’ils désiraient diriger les reines accrocher à ses coudes. Il restait dans son monde, ne réagissait plus, ne parlait plus. Ses parents tentèrent de converser avec lui, mais rien n’y fit. La distance les séparant ne prit que plus d’ampleur, et il apprit à devenir indépendant et à ne compter que sur lui-même. Sa confiance s’enchaîna progressivement, elle aussi.
Le manque de soutien ne le pousse pas non plus à faire de son mieux en terme d'éducation, alors lorsqu'il ne rêvasse pas et qu'il ne fait pas l'idiot, le garçon laisse son imagination s'exprimer sur une feuille de papier. Plus tourné sur l'écriture de roman et sur l'écriture de script, le métier d'écrivain l'intéresserait plutôt aussi ! Parfois il lui arrive d'écrire des romans ou quelques nouvelles. Mais il est aussi un professionnel en matière de musique c'est donc vers là que le jeune homme va tourner sa vie : l'écriture, le dessin et les animaux. Il peut encore se souvenir des nombreuses saisons jouées à sa petite sœur des "Quatre Saisons" de Vivaldi qu'elle adorait. Depuis il les chantonne dans les rues et les joues régulièrement sans pour autant s'y reposer pour gagner sa vie.
Dès la naissance du petit rejeton, on remarquait par moment qu'il ne se comportait pas tout à fait comme on attendait de lui. Après tout c'était un étranger de la famille donc il fallait s'attendre à tout. Il imaginait... Il créait et son père jugea judicieux de réprimander de telles actions : "l'imagination implique la fin du combat... Elle s'apparente à la distraction" voilà l'affirmation à laquelle avait droit le jeune homme avant des fessées dont il se souviendrait à vie. Mais ce dont le paternel ignorait est qu'il n'a fait que jeter de l'essence sur un feu. En effet le seul moyen, pour le jeune homme aux cheveux bruns, de s'échapper était son art.. Il a tout de même suivi une des plus prestigieuses éducations où il se passionna pour l'écriture, la philosophie et le dessin. Il fit tout de même des études dans la diplomatie et laissa tout tomber lorsqu'il se rendit compte que personne ne le voyait d'un très bon œil... On le mit à l'écart, il fut surveillé car, étant particulièrement intelligent et pouvant de ce fait, organiser des émeutes auprès du peuple.
Le jeune enfant grandit peu à peu entouré d'une sœur ainé et d'un frère légèrement plus jeune. Une famille qui était déjà bien grande et pleine d'avenir pour les Toriiwa. Le jeune Aki, son frère, devait devenir l'héritier de la famille et sa sœur devait se marier avec un noble pour assurer sa vie de demoiselle mais aussi (surtout) garantir la bonne réputation de ses parents. Pour ce qui est de Yolan, ses parents adoptifs ne voyaient rien en lui. Il était adopté et depuis que des rumeurs circulaient sur son identité, ses parents ne faisaient que l'enfermer dans la maison sans possibilités de sortir même dans le jardin. Chaque famille a ses secrets, le tout étant de ne pas le divulguer, de ne pas être découvert. C’est un jeu difficile qu’est celui de mentir en toute circonstance, même en présence de sa famille. Ne jamais dire ce que l’on pense, ne jamais hausser la voix, toujours être neutre sans tomber dans l’attitude glaciale et indifférente. Enfant on pardonne ces écarts de conduite, on sourit gentiment en expliquant par une phrase simple : « Il ne faut pas faire ainsi. » En grandissant les sourires s’effacent, les regards se durcissent, la tolérance s’envole pour laisser place à l’exigence pure et dure. On apprend à porter un masque et à ne plus l’enlever...
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Que choisir entre être un enfant non désiré, sans sang de la famille, sans même le nom et devenir héritier après des années d'errance, d'une fortune qu'on en veut pas s'il faut souffrir ? Contrairement à se que certain pourrait penser, l'argent ne fait pas le bonheur, certes il y contribue, mais ne fait pas tout. Et cela, le jeune homme peut le confirmer. Même s'il avait de grands moyens, ce n'était pas un plus.
Ses parents l'avaient empêcher de s'amuser, de faire ce qu'il voulait faire; profiter de la vie. Un soir, alors que sa mère était descendu avec un manche de la hache de son père, il savait très bien ce qu'il devait faire. Il n'avait pas peur, encore moins triste de la suite. Si ses parents étaient un obstacles pour ce qu'il désirait, il n'y avait qu'à les faire chuter. Oh oui, il le fit... Cela lui donnait du pouvoir, de l'autorité et il en désirait bien plus. De toute façon, il n'aura plus à se plaindre. Il avait tout calculer, tout était parfait, il ne lui restait qu'à partir.
Rêver de fuir... Un rêve que l'on fait souvent lorsque les efforts sont voués à l'échec. Si vous prenez la fuite, pour une raison ou pour une autre : les changements seront négatifs dans le domaine sentimental. Super positif encore... Fuir, se sauver, s'enfuir...prendre la course et aller loin parfois à cause d'un danger ou simplement une peur réelle ou juste imaginée. Il y a des personnes qui fuient les espaces clos, l'obscurité, les hauteurs... au point de devenir une phobie maladive qui peut parfois être traitée et que les psychologues cherchent les origines au fond fond de l'inconscient ou dans des souvenirs d'enfances. Mais, peut on fuir notre réalité? Une réalité qui nous étouffe,une réalité qui nous mène, nous emmène et nous malmène. Cette réalité qui nous conduit, nous accompagne et nous commande Cette réalité qui nous berce et qui nous maltraite, qui nous fait parfois rire et surtout pleurer. Cette réalité qu'on vois obscure, étouffante, emmerdante... Et on cherche la fuite. Le rêve est une fuite, un échappatoire. Le rêve est une seconde chance, une vie à coté de la vie. Le rêve est un monde vaste qu'on dessine avec les couleurs qu'on aime et qu'on choisit. Le rêve nous permet de sourire quand on est les plus tristes, nous permet d'avancer et de casser tous les murs à la recherche d'une lumière au fond d'un tunnel. Mais le rêve aussi peut nous étouffer quand il veut s'approcher de la réalité, quand on aime tout réaliser. Le rêve bien que basé sur nos illusions peut être lui même source de mal, quand on y croix, on s'y attache et quand on ne veux pas, ou on ne peut pas s'en débarrasser. Alors on doit fuir la fuite, fuir nos rêves, ou juste les arrêter. Retourner vers la réalité, elle est là, plus claire à tous les yeux. Il faut peut être apprendre à ne pas rêver, ou ne pas chercher à les réaliser, mais peut on ne pas espérer? qu'un jour peut être le rêve devienne réalité?
Finalement il s'enfuit. Oui, il décida de quitter le cocon familial alors qu'il était si doué. Ses parents adoptifs ne l'aimait pas, c'était ainsi et jamais ça ne changera. Il savait que ça ne changera plus. Ça l'étouffait.... partir était la meilleure façon de vivre. Avec son petit sac d'école, il partit dans la nuit d'un vendredi d'octobre vers les rues sombres de Dublin. Malheureusement pour lui, ses parents le rattrapent. De retour à la maison, il est torturé par son père adoptif dans la cave du château. Mais voyant que Yolan ne bronchait pas, il choisit une manière plus courtoise de le contrôler en tous point : il est envoyé dans une demeure aux États-Unis. Il a pour consigne de ne pas quitter cette endroit, sans quoi il se verra déshérité. C'est donc avec beaucoup de rancœur et de haine qu'il va dans cette ville, qu'il considère déjà comme un ''trou puant plein de bouseux''. Bien sur, il amène avec lui une dizaine de domestiques, afin de le servir fidèlement. Mais les villes sont grandes, il y a trop de monde dans les rues et Yolan préfère de loin rester dans le parc quitte à ne rencontrer personne... « Qu'on laisse un roi tout seul sans aucune satisfaction des sens, sans aucun soin de l'esprit, sans compagnies et sans divertissements, penser à lui tout à loisir, et l'on verra qu'un roi sans divertissement est un homme plein de misères. [...] Et c'est pourquoi, après leur avoir préparé tant d'affaires, s'ils ont quelque temps de relâche, on leur conseille de l'employer à se divertir, et jouer, et s'occuper toujours tout entiers.»
Des années plus tard, le voilà dans cette ville, exécutant simplement ses désirs à la lettre. Rien de plus, rien de moins, surtout rien de compliquer. Où tout cela le mènera ? Venez le voir par vous même...Rapidement, il prit son indépendance... Enfin, entre guillemet, régulièrement ses parents lui versent de l'argent parce que ce sont de bons parents qui ne veulent quand même pas mettre leur fil à la rue et affamé, même s'il n'approuve pas son style de vie et ne préfère rien savoir quant à ses réelles activités. Une fois ses diplômes en poche, obtenu jeune puisque, à peine 21 ans, il fit ses bagages pour une ville à la réputation séduisante, dont il avait entendu parlé au cours de sa dernière année d'étude.
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…Chut, il a besoin de silence, le pauvre. Il était si seul en ce moment.. Mais il ne pouvait parler à personne de son problème qui en fait n'en était pas un.. Non mais c'est vrai, avec qui pourrait-il parler de son ras-le-bol général sans être pris pour un fou trop gâté ? Mais ce qu'il était réellement, ça, personne ne le savait, personne ne voulait savoir. Tout ce qui sortait de l'ordinaire était à bannir au risque de voir son quotidien mouvementé.
Mais maintenant, il n'en pouvait plus... Aussi il est sortit du cocon familial et est allé s'installer dans un logis luxueux afin d'avoir au moins la distance qui le sépare de ses parents même si ces derniers le surveille toujours de près. Cerné de domestiques et de femmes quasiment chaque soir, Yolan ne se plaint pas d'être seul au contraire. Il voyait souvent les gens s'approchaient de lui et lui parler mais il n'en comprenait pas l’intérêt et ne savait vraiment quoi faire dans ce genre de situation même s'il appréciait que des gens aient les même centres d'intérêts que lui, cependant il préfère plutôt agir en solitaire puisqu'il se connait lui-même alors qu'il ne saurait s'il pouvait faire confiance aux gens qui pouvaient à chaque instant le trahir. Il ne veut pas de femme à le bichonner sans arrêt. Ses parents lui propose sans cesse des femmes à épouser mais que diable, Le beau brun les refuse toutes au grand désarroi de ses derniers. Le jeune homme ne parvient pas à garder la même passion avec une femme pendant plusieurs jours. Mesdemoiselles, désolé de vous décevoir mais avec ce jeune homme, vous ne pouvez espérer être heureuse et avoir beaucoup d'enfants comme dans les contes pour enfants. Par contre, le jeune homme garde ses relations avec ses amantes ou amants. En effet, il ne les lâche pas pour autant après un soir. Il aime retourner les voir par surprises ou pouvoir les utiliser quand il a besoin d'eux. Sans vraiment de but, l'homme plein de sous court donc derrière les beautés qu'il rencontre et laisse son adresse lorsque cette personne est digne d'y tourner la clef. Ce droit n'est pas accordé à tous bien sûr.
Il y a une autre facette qui a changé maintenant qu'il a déchiré la moitié d'une page de sa vie. Maintenant le jeune homme pouvait montrer à son père que l'art peut se montrer rentable et surtout que le crime allait le faire monter dans l'échelle. C'est sur une haine grandissante, bien encré et une volonté de faire que notre jeune homme va commencer à travailler dans le monde de ceux qui vivent du risque et du sang. Je ne parle pas des vampires, loin de là.
L'homme aux cheveux blancs n'est pas un homme doux, au contraire. On pourrait croire que sous ses airs de fous du 19ème siècle, il n'est qu'un gentleman un peu plus atteint psychologiquement que les autres mais... bon d'accord y'a une part de vrai là dedans... le plus important est de vous prévenir qu'il a tout d'abord bien toute sa tête mais qu'il joue dessus. D'un humour particulier et vêtu de costumes démodés mais toujours classe, il vous tourne autour avec un air sadique. Malheureusement, il a aussi les mains salies par le sang. Il n'en ai pas à un nombre incalculable de meurtre mais disons que certaines de ces missions ont été jusqu'à la mort d'un homme. Oui, notre homme sait suivre des ordres. Et contrairement à beaucoup, il ne fait pas ça juste pour l'argent mais aussi pour garder un certain ordre dans sa vie sans entrer dans la routine qu'il déteste le plus. Des vols, des punitions, des attentats, des bâtons dans les roues des ennemis de ses patrons, il peut tout faire. Bien sur il n'hésitera pas à faire son têtu et parfois demander un peu plus pour accepter la mission donnée. Mais le travail est toujours terminé.
C'était toujours selon ses envies du moment, toujours impulsif. Tuer, baiser, où était la différence ? Et en 6 ou 7 années où il s'est amusé avec les prostitués, il en a vécu des choses. Il a apprit à se perdre encore plus dans la violence et le sexe que déjà auparavant. L'alcool qui aidait aussi, douce boisson si chaleureuse. Il aime l'alcool. J'ai connu la violence jouissive et depuis, j'aime autant donner que recevoir la violence. Enfin... C'est assez intime ce que je vous raconte là... Passons ce passage et venons en à ses journées. Car oui, l'important chez un gentleman, c'est aussi d'avoir un agenda de ministre. Ayant garder la vieille bâtisse que ses parents adoptifs lui on confié, le jeune homme reste écarté des autres de la société. Même si les plus grandes entreprises lui proposent d'en faire un immense gratte-ciel, ce n'est que refus qu'il apporte comme réponse. Il n'a aucune envie de lécher des vitres où tout le monde peut le voir. Il aime les vieux manoirs de la passionnante histoire du Japon. C'est donc presque coupé du monde moderne que Yolan vit. Dans son manoir, il a adopté des serviteurs et servantes tous plus étonnants les uns que les autres. Obligés de servir le jeune homme égocentrique, ils ne gardent qu'une relation basée sur le bonjour, merci, au revoir avec leur maître. Seul le major d'homme de M. O'nney est très proche de ce dernier. D'ailleurs personne ne sait vraiment ce qu'il s'est passé entre eux deux... hum hum.... aucun rapport une nouvelle fois. Que voulez vous, on a tous soif de ragots, non ?
feat Xerxes Break Observe mon doux visage
« Un homme froid au regard sauvage »
« Ce que je pense de mon physique ? Hmmm... et bien vu que la vantardise est présente dans chacun de nous, je me permets de me présenter de la meilleure façon qu'il soit. On peut commencer par dire que je suis beau et dangereux ! Qui résisterait à cette merveille de la nature? Dépasser les limites de la vantardise... ah vous croyez ? J'ai des cheveux blanc... blanc neige même. C'est en partie pour ça que mes parents adoptifs m'ont donné ce surnom j'en suis sûr. On dit que les yeux sont le reflet de l'âme, serait il possible que je sois aussi froid ? J'ai une musculature peu impressionnante malgré le fait que je sais m'entretenir en faisant beaucoup de sport. Je ne suis pas un personnage particulièrement grand, faisant tout juste 1m81, bien que j'aurais aimé atteindre le 1m85, juste parce que j'aime être grand et imposant. Peut-être que cela m'aurais évité bien des ennuis jusqu'ici, surtout envers ceux qui pensent pouvoir le « dominer » avec leurs quelques centimètres de plus que lui. Crétins. D'autant plus que côté muscle, il n'irait pas se mesurer aux messieurs sur la plage non plus. Je suis suffisamment musclé pour qu'on puisse voir la douce courbe de ceux-ci sous mon épiderme, sans avoir l'air d'une asperge ou d'un bœuf. Une délicate musculature et le tour est joué. Globalement, mon corps est parfaitement proportionné, créant une harmonie parfaite entre chaque parcelle de mon anatomie... Une délicieuse anatomie. Miam. C'est sans compter qu'avec le peu de choses que je mange, ce n'est pas étonnant que je reste mince et sexy, un poids plume d'environ 64 kilos. Attention : mince ne veut pas dire maigre, car je ne suis pas maigrichon ou cadavérique. Loin de là. Mes épaules ne sont pas voûtées, mais je ne suis pas baraqué non plus. Elles se découpent bien, suivies par un torse exquis, un ventre plat et ferme, bassin étroit et des fesses... Oh, mes fesses ! Mon dieu, mon derrière doit bien être la huitième merveille du monde. Bref, des jambes solides et élancées, finement musclées.
En général je suis habillé chic. J'aime être à l'aise dans mes vêtements après, d'un point de vue esthétique, j'arrive à me débrouiller pour m'habiller de façon harmonieuse. Je n'ai pas de préférence entre les T-shirts, chemises ou quoi que ce soit. Comme tout homme riche qui se respecte, j'aime les costumes cravates. Quand aux couleurs, généralement elles sont neutres : blanc, noir, marron. Il m'arrive aussi de porter de vraies couleurs mais je n'ai pas de préférence pour l'une où l'autre. Mais lorsque je rends visite, je me pare toujours d'habits majestueux et me rendant vraiment important. Je suis un noble et je reste à ma place »
Poussant un soupir las, le jeune homme replaça une mèche de cheveux rebelle derrière son oreille. Sous la lumière des rayons incandescents du soleil, son derme semblait encore plus pâle qu'il ne l'était d'ordinaire et des reflets clairs rendaient sa chevelure chatoyante, presque brillante. L'horloge digitale située sur son bureau en bois d'ébène indiquait qu'il n'était pas encore dix heures du matin et pourtant, la fatigue étirait déjà les traits fins de l'homme qui réprima tant bien que mal un bâillement, passant sa main sur son visage afin de chasser les derniers limbes de sommeil qui menaçaient de le renvoyer tout droit dans les bras de Morphée. Ses lèvres fines étaient retroussées en une grimace peu amène alors qu'il fusillait de ses orbes émeraudes la page blanche présente devant lui. Un stylo noir à encre pendait mollement entre ses doigts fins et de multiples ratures se dessinaient sur le papier qu'il ne parvenait à remplir de ses jolies phrases qui, aujourd'hui, ne parvenaient pas à se former dans son esprit pourtant si imaginatif. Encore une matinée de perdue, et le reste de la journée serait probablement semblable à ces quelques heures passées assis confortablement à ce siège. Un pli s'était formé entre ses sourcils anormalement froncés et sa main gauche jouait un rythme rapide sur l'accoudoir du fauteuil, tentant d'évacuer la nervosité emmagasinée depuis maintenant trop longtemps. Une nouvelle nuit blanche passée à remuer et gesticuler en tous sens dans son vaste lit. Un lit deux places. C'était le minimum, lorsque l'on prenait en compte sa haute stature. Il était svelte, une fine musculature ornant son torse, ses cuisses, ses bras, mais ne ressemblait en rien aux armoires à glace que l'on croisait parfois, au détour d'une rue. Il devait frôler le mètre 85 et, sans dépasser son entourage de plusieurs têtes, demeurait néanmoins d'une taille tout à fait respectable pour un jeune adulte de sa carrure. Son nez légèrement retroussé remua alors que sa joue vint s'appuyer contre le dossier du siège, songeur. Il était inutile de rester assis alors que, visiblement, l'inspiration lui manquait cruellement. Mieux valait faire une pause, se changer les idées, prendre l'air, et revenir quelques heures plus tard. Un sourire vint orner son visage blême, dévoilant ses dents blanches parfaitement alignées. Oui, voilà. Il sortirait. Marcher un peu lui ferait le plus grand bien. Attrapant sa veste d'un mouvement habile, l'homme l'enfila prestement et se dirigea vers la porte menant à l'extérieur, ses clefs en poches. Le temps passa, il grandissait ; une fois adule, il atteignit une taille imposante, bien que son corps ne se soit guère musclé davantage que quand il était jeune ; il avait le physique d'un homme d'église, ou d'un herboriste, de ceux que le métier n'impose pas de travaux musclés.
En bref, un pervers et avec de grosses chevilles henflées xD Mais je joue aussi avec beaucoup d'autres personnages tous plus différents les uns des autres =) Sur ces mots, je veux du chocolat! xD Bonne journée à vous. |
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